Les États-Unis en position d’équilibre
Selon Reuters, les États-Unis ont officiellement nié toute participation directe aux frappes. Le secrétaire d’État Marco Rubio a déclaré : « Israël a agi de manière indépendante pour se défendre face à une menace existentielle. » Washington appelle toutefois à la « désescalade immédiate » pour éviter une guerre ouverte dans la région.
L’Union européenne et les alliés occidentaux appellent au calme
Dans une déclaration conjointe, l’Union européenne, le Royaume-Uni, le Canada, le Japon et l’Australie ont exprimé leur inquiétude quant à une possible escalade au Moyen-Orient. Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a déclaré : « Nous comprenons les préoccupations d’Israël, mais la voie militaire ne peut pas remplacer la diplomatie »
Condamnations dans le monde musulman
Plusieurs pays musulmans ont vivement condamné l’opération israélienne. La Turquie, le Qatar, l’Indonésie, le Pakistan et l’Arabie saoudite ont dénoncé une attaque « dangereuse », « injustifiée » et « violant le droit international ». Le ministère des Affaires étrangères d’Oman a même évoqué « une agression susceptible de menacer toute la stabilité régionale »
La Chine et la Russie pointent une "provocation"
La Russie a qualifié l’attaque israélienne d’« injustifiée et non provoquée », appelant à une réunion urgente du Conseil de sécurité de l’ONU (source : Economic Times of India). De son côté, la Chine a exprimé ses « vives préoccupations » et exhorté toutes les parties à faire preuve de retenue pour éviter un embrasement généralisé