Après le rejet de son texte, la députée a déclaré : "Ce premier gouvernement post-sioniste n'a pas soutenu une loi qui demandait une chose élémentaire : que le drapeau d'Israël soit hissé sur chaque établissement académique avec une sanction pour tout établissement qui refuserait de le faire. Le mot 'sionisme' dans le monde universitaire est devenu un gros mot et la liberté idéologique n'existe plus. Le fait même que la coalition n'ait même pas daigné répondre à la proposition de loi explique tout".Photo Porte-parole Knesset


