Dimanche 21 décembre, des soldats de Tsahal opérant dans le nord de la bande de Gaza ont identifié plusieurs individus rassemblés à proximité de la ligne jaune, zone de sécurité interdite définie après le cessez-le-feu. Malgré des tirs de sommation, deux terroristes ont franchi cette ligne et se sont approchés des forces israéliennes.

Deux autres incidents distincts ont ensuite été signalés dans le même secteur : deux terroristes supplémentaires ont, eux aussi, traversé la ligne jaune et avancé vers les soldats. Les quatre individus ont été éliminés par des frappes ciblées de l’aviation israélienne afin de neutraliser une menace immédiate.

Selon Tsahal, le Hamas a violé à de multiples reprises le cessez-le-feu ces dernières semaines, en envoyant des terroristes armés tester les lignes de défense israéliennes et en cherchant à créer des situations de confrontation directe avec les forces israéliennes.

Sur le plan juridique, Tsahal agit dans le cadre de la loi israélienne sur l’incarcération des combattants illégaux (2002) — un cadre légal que nous avons déjà détaillé et qui autorise une réponse immédiate contre toute personne participant à des actes hostiles contre l’État d’Israël sans relever du statut de combattant régulier. Le franchissement armé de la ligne jaune constitue, à ce titre, une menace justifiant une neutralisation.

La Cour suprême israélienne a confirmé la conformité de cette loi au droit international humanitaire, rappelant qu’Israël est tenu de neutraliser toute menace active tant que le Hamas poursuit ses hostilités.


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