Il y a affirmé que l'arrêt des combats ne devait pas être une condition préalable à la libération des otages.
''Nous ne voyons pas de raison de poursuivre les combats'', a-t-il déclaré, ''Nous pensons qu'il est important de parvenir à un accord de libération des otages mais également d'arrêter la guerre, aujourd'hui, sans condition préalable. C'est notre dilemme. Hélas beaucoup d'Etats estiment que l'arrêt de la guerre doit être une condition préalable à la libération des otages. Ce n'est pas une condition qui doit être posée. Ce qui doit être mis en avant est plutôt la situation humanitaire à Gaza''.
Le Premier ministre qatari a également fait savoir que si une percée avait pu être constatée il y a quelques semaines, les négociations piétinent pour l'heure.
Dans ce contexte, le chef de la branche politique du Hamas, Ismaël Haniyeh, a indiqué que le Hamas ne transigerait pas sur plusieurs points: ''Nous n'accepterons pas moins d'un arrêt total de l'agression, le retrait de l'armée israélienne de la Bande de Gaza, le retour des expulsés dans leurs maisons, notamment au nord de la Bande de Gaza et la libération d'anciens prisonniers condamnés à de lourdes peines''.
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