Elle a avoué que le moment le plus difficile pour elle en captivité a été quand elle a entendu Binyamin Netanyahou à la radio affirmer que la guerre serait encore longue. Elle a perdu espoir d'être libérée un jour et de revoir sa mère, gravement malade qui est décédée quelques jours après sa libération.
Noa Argamani a ajouté: ''Les otages là-bas souffrent et meurent. Il faut les ramener le plus vite possible. Je ne veux pas entrer dans des considérations politiques mais j'ai vu la mort en face. Yossi Sharabi et Itay Svirsky (z'l) ont été tués à côté de moi''.
Noa Argamani et son père Yaakov ont répondu favorablement à l'invitation du Premier ministre de l'accompagner dans sa visite aux Etats-Unis. Depuis, l'ancienne otage est la cible d'attaques virulentes sur les réseaux sociaux de la part de proches d'otages et de journalistes de gauche qui lui reprochent de servir de ''faire-valoir'' au Premier ministre.