La Cour a estimé qu'elle n'avait pas à s'ingérer dans la décision du cabinet de sécurité de détenir ces corps afin de s'en servir comme monnaie d'échange dans le cadre de négociations pour la libération des soldats et des civils aux mains des organisations terroristes.
La Cour a estimé qu'elle n'avait pas à s'ingérer dans la décision du cabinet de sécurité de détenir ces corps afin de s'en servir comme monnaie d'échange dans le cadre de négociations pour la libération des soldats et des civils aux mains des organisations terroristes.