Lors de la conférence, Netanyahu a affirmé avoir une confiance totale dans l’économie israélienne :«Elle est forte, très forte, et elle impressionne le monde entier. Et plus encore : elle impressionne le monde depuis deux ans, alors que nous menons une guerre ». Selon lui, un expert économique international lui aurait confié : « Je ne crois pas ces chiffres, ce ne sont pas ceux d’une économie en guerre ».

Le Premier ministre a ajouté que, contrairement aux prévisions, le shekel est plus fort qu’avant le conflit et que la Bourse israélienne surpasse l’indice S&P aux États-Unis. Il a également précisé que le taux de chômage est historiquement bas et que l’économie israélienne attire un afflux massif d’investisseurs.Sans publier de noter une baisse des prix de l’immobilier.

Le Premier ministre a tenté de clarifier son discours de la veille, "le discours Sparte" au cours duquel il avait reconnu l’isolement diplomatique d’Israël dans le contexte de la guerre à Gaza, suscitant de nombreuses réactions et une légère chute de la Bourse : « Il y a eu une incompréhension, mais les marchés ont compris mon message », a-t-il expliqué, soulignant son objectif de transformer Israël en une "économie libre" et de continuer à attirer les investissements étrangers.