Selon la blogueuse de voyage The Atlas Aura, certaines destinations qui paraissent idylliques au départ deviennent vite des désillusions.
Dans une vidéo publiée sur TikTok, elle a dressé la liste des sept pays où les nouveaux arrivants souhaitent souvent rentrer chez eux en moins d’un an.
1. Le Canada
Le pays attire pour sa sécurité, son accueil chaleureux et sa nature grandiose, mais la réalité se révèle plus rude : hivers interminables, coût du logement élevé et difficultés à créer des liens sociaux profonds.
2. La Suède
Propre, sûre et moderne, la Suède séduit au premier regard. Pourtant, les hivers longs et sombres, une culture réservée et l’intégration difficile poussent de nombreux expatriés à repartir.
3. L’Australie
Synonyme de soleil, plages et qualité de vie, l’Australie est un rêve pour beaucoup — jusqu’à ce que les prix vertigineux, les contraintes de visa et l’éloignement familial les rattrapent.
Le coût du logement est particulièrement élevé : le prix médian d’une maison à Sydney dépasse 3,6 millions de shekels.
Le loyer d’un studio dans le centre de Sydney peut coûter jusqu’à 6400 shekels par mois.
Les produits de base sont chers également .
4. L’Allemagne
Appréciée pour sa stabilité économique et sa rigueur, l’Allemagne rebute néanmoins par sa bureaucratie écrasante et la froideur apparente de ses habitants.
5. La Nouvelle-Zélande
Avec ses paysages spectaculaires et son rythme de vie paisible, la Nouvelle-Zélande attire les aventuriers. Mais son isolement géographique, un marché du travail restreint et le coût élevé des voyages vers l’Occident découragent les expatriés sur le long terme.
6. L’Espagne
Destination prisée des Israéliens, l’Espagne perd aussi de son attrait à cause d’une bureaucratie lente, d’un taux de chômage élevé et de la barrière de la langue en dehors des grandes villes.
7. La France
S'ils sont nombreux à être séduits par la culture, la gastronomie et les paysages français, il se trouve que d'expatriéss déchantent face à une administration lourde et à des cercles sociaux difficiles à intégrer.
En 5786, le solde migratoire d’Israël a été négatif : le pays a perdu environ 28000 habitants.
Environ 25000 nouveaux immigrants sont arrivés, rejoints par 5000 personnes dans le cadre de regroupements familiaux, tandis qu’environ 21000 Israéliens installés à l’étranger sont revenus, contre 79000 qui ont quitté le pays mais peut-être pas pour si longtemps...