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Onu : attaque musulmane en règle contre Israël

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24 septembre 2021

ParIsraJ

Onu : attaque musulmane en règle contre Israël

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Plusieurs dirigeants de pays musulmans s'en sont pris à Israël lors de leur intervention à l'Assemblée générale de l'Onu à New-York. Après les présidents iranien et turc, ce sont le roi Abdallah II de Jordanie et l'émir du Qatar qui ont décoché leurs flèches sur l'Etat juif.

Le roi du royaume artificiel de Jordanie, dont la survie du régime dépend uniquement des Etats-Unis et d'Israël, n'a pas été modéré dans ses propos : "La guerre amère qui s'est déroulée à Gaza nous a rappelé que c'est une situation inacceptable. Combien de personnes (arabes) vont-elles encore mourir ? Combien d'enfants mourront avant que le monde ne se réveille ? (...) La sécurité de chaque partie ne s'obtiendra que par la solution de deux Etats et la création d'un Etat palestinien souverain et viable, sur la base des lignes d'avant le 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale. La Jordanie continuera à oeuvrer pour le maintien du statu quo historique et légal à Jérusalem et sur les lieux saints musulmans et chrétiens".

L'émir du Qatar Tamim ben Hamed al-Tani a quant à lui a attribué à Israël la responsabilité de la dernière confrontation militaire entre Israël et le Hamas. Il a notamment déclaré : "Cette année a vu beaucoup de violations de la part d'Israël à l'est de Jérusalem occupée et les agressions contre les lieux saints de l'islam et du christianisme se sont multipliées, et en particulier contre la mosquée Al-Aqsa, lors du mois saint du Ramadan et avec la confiscation de maisons palestiniennes dans le cadre de la judaïsation et de l'occupation. Ce sont ces événements qui ont provoqué l'escalade à Gaza qui a fait des centaines de victimes parmi des civils désarmés et qui a aggravé la situation humanitaire".

Quant au président égyptien il a été plus modéré mais a également demandé la création d'un Etat "palestinien" sur les lignes d'avant le 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale.



L'intervention du chef terroriste Abou Mazen est encore attendue et constituera, sans surprise, un sommet de haine et d'attaque contre Israël.

Photo Pixabay





 
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