Désolé, votre navigateur ne supporte pas la synthèse vocale.
Après l'attentat perpétré il y a une semaine près du Kotel par un "éducateur" d'un quartier arabe de Jérusalem, la présidente de la commission parlementaire de l'Education Sharren Haskel a convoqué une séance spéciale consacrée aux programme scolaires dans les écoles arabes de la capitale. Certains participants ont apporté de nombreux exemples sur les contenus antisémites et incitatifs des ouvrages scolaires dans les quartiers arabes.
Un représentant de la municipalité de Jérusalem a surpris l'assistance en expliquant que les ouvrages employés dans ces écoles proviennent de l'Autorité Palestinienne et sont subventionnés et imprimés par l'Etat d'Israël ! Le programme de ces écoles fixe même une "Journée du Shahid" durant l'année scolaire. Cette situation incompréhensible est l'une des clauses des Accords d'Oslo B. Le représentant de la municipalité de Jérusalem a précisé qu'une certaine censure est exercée sur ces ouvrages, mais il faut avouer qu'elle n'est pas très efficace.
On sait déjà que les ouvrages scolaires en usage dans les territoires administrés par l'Autorité Palestinienne ainsi que dans la bande de Gaza enseignent la haine des Juifs sur des thèmes 'classiques', la négation du droit de l'Etat d'Israël à exister sous quelque forme que ce soit, la glorification du terrorisme et du martyre et même le négationnisme de la Shoah. Mais là, il s'agit de la capitale de l'Etat d'Israël.
Après l'attentat commis par Fadhi Abou Shkhedem, un reportage de la télévision israélienne a montré des enfants du quartier de Shouafat qui pleuraient la "mort du shahid", l'un d'eux, à peine âgé de dix ans, souhaitant que "tous les Juifs brûlent en enfer".
Un effet de 'l'éducation' qu'il a reçue, financée par le contribuable israélien !