Tsahal a les yeux fixés vers le 1er janvier mais pas pour les raisons que l'on croit. C'est le 1er janvier 1965 que les terroristes du Fatah commirent leur premier attentat, en lançant un engin piégé contre le conduit national d'eau dans le but de perturber l'approvisionnement du pays en eau potable. Ce jour du 1er janvier qui est célébré dans le monde entier dans la joie pourrait l'être par les terroristes par d'autres formes de "festivités".

Selon le Bedein Center for Near East Policy Research, le 1er janvier 2022 pourrait être le prétexte pour les terroristes, s'inspirant de la vague actuelle, pour provoquer des troubles ou des attentats, avec la collaboration d'Arabes des villes mixtes, avec un risque de nouvel embrasement comme au mois de mai.

Selon David Bedein, directeur du centre, des informations concordantes indiquent qu'une nouvelle explosion de violence est probable, encore plus intense que celle qui a accompagné l'Opération "Gardiens des Murailles". Il souligne qu'il s'agit d'un véritable tonneau d'explosif fait d'éducation à la haine, d'incitation dans les mosquées  et de disparition de la peur d'affronter les forces de sécurité face auxquels les pouvoirs publics n'ont pas pris la mesure.

Photo Illustration