Emmanuel Macron, cité par Le Monde, aurait dit: ''Si la réforme était adoptée en l'état, la France se verra contrainte d'en conclure qu'Israël s'est coupé de la vision commune à nos deux Etats de ce qu'est la démocratie''.
Les deux dirigeants ont, par ailleurs, longuement discuté des moyens de faire face à la menace nucléaire iranienne. Le Premier ministre Netanyahu a souligné que la dissuasion face à l'Iran et ses antennes au Moyen-Orient doit être renforcée. Il a également appelé à imposer des sanctions importantes au régime iranien et à inscrire les Gardiens de la révolution sur la liste européenne des organisations terroristes.
Le Premier ministre Netanyahu et le président Macron ont également discuté de la nécessité de maintenir la stabilité régionale, en particulier au Liban, et des opportunités d'élargir les accords de paix.