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Après les horribles massacres de Juifs, l’ONU se concentre encore sur la mort de Shireen Abou Akleh

3 minutes
26 octobre 2023

ParIsraJ

Après les horribles massacres de Juifs, l’ONU se concentre encore sur la mort de Shireen Abou Akleh
Photo by Nasser Ishtayeh/Flash90

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L'ONU montre de jour en jour son visage anti-israélien. Alors que 1400 Juifs, dont des bébés, ont été massacrés le 7 octobre par des terroristes du Hamas, alors qu'Israël se bat contre des monstres pour sa survie et la sécurité de tout le peuple juif dans le monde, l'ONU préfère, encore aujourd'hui, parler de la mort de Shireen Abou Akleh.
Rappelons que cette journaliste d'Al Jazeera a été tuée au mois de mai 2022 lors d'échanges de tirs à Jénine entre l'armée israélienne et des terroristes palestiniens.

En septembre 2022, près de quatre mois après la mort de la journaliste d’Al Jazeera, Shireen Abou Akleh, lors d’affrontements entre Tsahal et des terroristes à Djénine, l’armée israélienne a publié les résultats de son enquête.

D’après les conclusions de cette enquête, Abou Akleh a très probablement été tuée par les tirs d’un soldat de l’unité Douvedevan suite à une erreur de jugement de sa part.

Il convient de remettre les événements dans leur contexte: les échanges de feu étaient nourris et la journaliste et son équipe s’étaient placés au milieu du champ de bataille. La confusion qui régnait sur place rendait difficile l’identification des personnes sur place.

Dans un premier temps, l’enquête de Tsahal avait conclu à l’impossibilité de définir l’origine du tir.

Pourtant le Chef d’état-major, Aviv Kohavi, avait demandé à approfondir les investigations.

Rappelons aussi que Shireen Abou Akleh possédait la nationalité américaine et que l’administration américaine était impliquée dans les discussions autour de l’enquête.

Le Chef d’état-major avait tenu, lors de la publication de ces conclusions, à renouveler son soutien aux combattants qui étaient sur place ce jour-là tout en regrettant que des civils aient été victimes collatérales des événements.

Sans surprise la famille d’Abou Akleh s'était félicité de ces conclusions qui selon ses dires confirment que Shireen a été “assassinée” par Israël.

 

Aujourd'hui (jeudi), la commission d'enquête de l'ONU a annoncé avoir identifié l'officier de Tsahal qui a probablement été l'auteur du tir qui a tué la journaliste.

D'après les conclusions de cette enquête: ''Tsahal a fait usage d'armes particulièrement meurtrières sans justification selon le droit international et avec détermination ou impulsivité a violé les droits à la vie d'Abou Akleh''.

La présidente de cette commission, la sud-africaine Navi Pillay, a fait le rapprochement avec la situation en Judée-Samarie en ce moment. Tsahal mène quotidiennement des opérations pour éradiquer dans cette région aussi le terrorisme, élimine et procède à des arrestations de centaines de terroristes. Faisant fi de la guerre contre la barbarie qui a été imposée à Israël, Pillay estime que ''dans une partie des opérations de Tsahal en Judée-Samarie, les soldats israéliens font un usage disproportionné de la force''.

Dans une interview accordée ce matin sur Galei Tsahal, Mike Herzog, l'ambassadeur d'Israël aux Etats-Unis, a résumé: ''L'ONU est un terrain problématique qui n'est pas d'un grand secours, ni pour la paix ni pour les sujets qui concernent, tout y est politique et biaisé".

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