Le texte qui accompagne l'inscription d'Israël dans cette liste noire comprend des affirmations selon lesquelles Israël tente de recruter des mineurs comme ''délateurs'' et que les forces de sécurité ont utilisé des enfants comme boucliers humain. Ces accusations sont rejetées en bloc par Israël.
Dans le texte de l'ONU, il n'y a aucune référence à l'utilisation d'enfants comme boucliers humains par le Hamas et le Jihad islamique ni aux tirs de roquettes du Hamas en masse sur le territoire israélien vers la population civile ni aux dommages causés aux installations civiles, notamment aux jardins d’enfants, aux hôpitaux et aux écoles en Israël. Israël est également accusé du meurtre de six mineurs au Liban, mais dans cette affaire également, il n'y a aucune mention d'un quelconque lien ou référence aux attaques du Hezbollah contre Israël et aux dommages qu'elles causent.
Par ailleurs, il est question d'actions prétendues d'habitants de Judée-Samarie contre des enfants palestiniens et Israël est aussi accusé d'empêcher l'aide humanitaire de parvenir dans la Bande de Gaza. Aucune mention n'est faite des otages et du fait qu'ils n'ont accès à aucun soin, ni à aucune aide humanitaire.