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D’après l’agence Reuters, les États-Unis mèneraient une campagne diplomatique pour dissuader Israël de frapper la capitale libanaise, Beyrouth, ou d’importantes infrastructures civiles, en réponse à l’attaque meurtrière à la roquette sur Majdal Shams, qui a causé la mort de douze enfants et a blessé des dizaines d’autres personnes, sur un terrain de football.
Le vice-président du Parlement libanais, Elias Bou Saab, qui a déclaré qu’il était en contact avec le médiateur américain Amos Hochstein depuis l’attaque meurtrière de samedi dernier, a indiqué à l’Agence Reuters qu’Israël ‘pourrait éviter la menace d’une escalade majeure en épargnant la capitale et ses environs’.
Le département d’État américain, qui n’a pas voulu donner de précisions sur les discussions en cours, a déclaré « qu’il cherchait une ‘solution durable’ pour mettre fin à tous les tirs transfrontaliers ».
« Notre soutien à la sécurité d’Israël est inébranlable face à toutes les menaces soutenues par l’Iran, y compris le Hezbollah », a déclaré un porte-parole à Reuters.
Plus tôt, la chaine israélienne Kan 11 a rapporté que l’administration américaine estimait que la riposte israélienne contre le Hezbollah après le massacre de Majdal Shams seraient fortes, mais ne devraient pas conduire à une guerre totale.