Selon le porte-parole du Service pénitentiaire, deux détenus arabes incarcérés dans le centre du pays ont exprimé leur joie après l’attaque. Conformément à la directive du commissaire des prisons, ils ont immédiatement été retirés de leurs cellules, sanctionnés, reclassés comme prisonniers de sécurité et transférés vers un établissement adapté. L’administration a rappelé sa politique de « tolérance zéro » face à tout signe de soutien au terrorisme.
Parallèlement, des habitants juifs de Jérusalem témoignent avoir vu des scènes similaires dans certains quartiers arabes de la ville, notamment à Mousrara, entre la mairie et le Kotel, près de la porte de Damas. Des cris de joie et des distributions de sucreries y auraient été observés peu de temps après l’attaque sanglante.
Ces comportements, en prison comme dans la rue, illustrent l’hostilité persistante d’une partie de la population arabe et renforcent la volonté des autorités israéliennes d’agir avec fermeté contre toute expression d’encouragement au terrorisme.