Selon des sources gouvernementales, Israël anticipe une possible visite du président américain Donald Trump dès qu’un accord de libération des otages sera signé. La Maison Blanche avait déjà envisagé une escale en Israël lors du déplacement du président en Grande-Bretagne le mois dernier, mais le projet avait été suspendu faute d’accord finalisé.
Cette fois, l’optimisme est plus marqué. Les pourparlers menés à Charm el-Cheikh, en Égypte, entre les délégations israélienne, américaine et qatarie laissent espérer une avancée décisive. Si un accord est conclu, Trump souhaiterait — selon ses proches — « venir célébrer la fin de la guerre et la libération des otages », un geste hautement symbolique dans un contexte encore fragile.
À Jérusalem, les équipes de protocole se tiennent prêtes à organiser une visite éclair mais hautement médiatisée. Tout dépend désormais du dénouement des négociations. Mais un scénario prend forme : celui d’un président américain foulant le sol israélien pour marquer la fin d’un cauchemar national — et le début d’une nouvelle phase diplomatique.