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A quelques jours de la reprise des négociations entre l'Iran et les puissances signataires de l'accord de Vienne (sauf Etats-Unis) le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian a voulu fixer les règles du jeu : "Si les parties en présence acceptent l'exigence iranienne de levée de toutes les sanctions, il se peut qu'un accord soit signé dans l'immédiat".
Le chef de la diplomatie iranienne a prétendu que son pays se rend à Vienne "avec une bonne volonté d'entente mutuelle".
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique Rafael Grossi était à Téhéran la semaine dernière pour s'entretenir avec le ministre des Affaires étrangères et le directeur de l'Agence iranienne de l'énergie atomique, à propos du renouvellement des inspections de l'AIEA sur les sites nucléaires iraniens. Une rencontre sans résultats.