Israeli students seen at the campus of "Mount Scopus" at Hebrew University after the administration reopenned its campus for the March semester to students who have been vaccinated against or have recovered from the coronavirus on April 19, 2021. Photo by Olivier Fitoussi/FLASh90 *** Local Caption *** ??????\n\n????\n?? ??????\n\n??????????\n\n????????\n\n?????\n\n???????
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A deux jours des élections pour l'union des étudiants au sein de l'Université hébraïque de Jérusalem du Mont Scopus, la cellule du mouvement judéo-arabe d'extrême gauche "Omdim Beya'had" a présenté sa plateforme qui entend "lutter contre l'occupation".
Dans ce programme, il est notamment écrit : "Notre campus est situé à Jérusalem-Est, et cette réalité ne peut être ignorée. Nous ferons en sorte que l'université ne collabore pas avec la machine d'occupation mais au contraire s'opposera a elle".
Or, le terrain sur lequel a été édifié en 1918 l'Université du Mont Scopus avait été acquis en bonne et due forme en 1914 par l'Organisation sioniste mondiale à Sir John Gray Hill, un riche avocat britannique qui l'avait acheté en 1890.
Après la parution de cette plateforme, le mouvement estudiantin Im Tirtsou a écrit : "On se demande ce qui est passé par la tête de ces étudiants qui étudient sur le campus qui fut créé en 1918 en parlant 'd'occupation'. Au lieu de participer aux élections des étudiants ils feraient mieux de rouvrir leurs livres d'histoire".
David Koslovsky, président de la cellule d'Im Tirtsou à l'Université hébraïque de Jérusalem du Mont Scopus a rajouté : "Si les militants d''Omdim Beya'had' sont tellement préoccupés par l'emplacement de la cité universitaire, ils sont gentiment conviés à ne plus y étudier. Un peuple ne peut être un occupant sur a propre terre. Nous continuerons à défendre les valeurs du sionisme à l'Université hébraïque comme partout ailleurs".