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Les menaces de poursuites devant la Cour Pénale Internationale se précisent contre Netanyahou, Gallant et Halévy. Le Premier ministre israélien a affirmé que cette ombre qui pèse au-dessus de lui ne l'empêcherait pas de mener jusqu'au bout la guerre contre le Hamas et pour restaurer la sécurité des citoyens israéliens.
En coulisses, des démarches sont entreprises par des acteurs israéliens afin d'empêcher ces procédures d'aboutir.
Aux Etats-Unis aussi, l'idée que les dirigeants politiques et sécuritaires israéliens pourraient être trainés devant la CPI est mal accueillie par un certain nombre de sénateurs et de membres du Congrès américain. Ainsi, la radio Kan Reshet Beth rapporte que plusieurs de ces élus américains oeuvrent pour ne pas que ces mandats d'arrêt soient émis. Ils menacent même la CPI de sanctions si elle décidait d'ouvrir une procédure.
Selon la chaine américaine Bloomberg, ce sont tous les dirigeants du G7 qui sont inquiets de l'éventualité de l'émission de mandats d'arrêt contre Netanyahou, Gallant et Halévy car ils estiment que cela mettrait en péril un éventuel accord pour libérer les otages. Des messages dans ce sens ont été passés à la CPI.