« Vous nous inspirez tous. Le président Trump est déterminé à mettre un terme à cette tragédie. Steve Witkoff et Jared Kushner se rendront très prochainement dans la région pour finaliser l’accord. J’espère que la prochaine fois que nous nous retrouverons, ce sera pour célébrer le retour de tous les otages. » a déclré le secrétaire d'état américain Marco Rubio. Le secrétaire au Commerce Howard Lutnick, a ajouté :« Presque tous les membres du cabinet sont ici aujourd’hui pour soutenir l’appel du président Trump à libérer tous les otages. Nous vivons des jours décisifs et faisons confiance à l’équipe de négociation en Égypte pour conclure cet accord qui peut changer l’avenir du Moyen-Orient. »

Plusieurs ex-otages ont pris la parole : Noa Argamani, libérée après plusieurs mois de captivité, a exprimé sa gratitude envers Trump : « Je garde l’espoir que ce cauchemar s’achève bientôt. » Doron Steinbrecher a évoqué la douleur de la désillusion : « On m’avait dit que je rentrais à la maison… Puis les bombardements ont repris. Le désespoir était écrasant. » Iair Horn, dont le frère Eitan est toujours détenu, a lancé : « Je ne peux être vraiment libre tant qu’il est sous terre. Cet accord peut ramener les otages et mettre fin à la guerre. Il ne doit pas échouer. »

Les proches encore dans l’attente ont aussi pris la parole : Arbel Yehoud, dont le compagnon Ariel Cunio est toujours à Gaa a supplié : « Ramenez Ariel, son frère David, et tous les autres. » Lishay Miran-Lavi, rescapée du 7 octobre, a rappelé : « Ce n’est pas fini tant que chacun n’est pas sorti des tunnels du Hamas. Cet accord doit aboutir maintenant. » « Ce texte n’est pas une promesse abstraite : c’est la vie de dizaines d’hommes et de femmes », a déclaré Yotam Cohen, frère du soldat Nimrod Cohen enlevé à Gaza.

Des familles d’otages assassinés, comme Orna et Ronen Neutra, qui ont été reçus par le président américain à la Maison Blanche, tout comme l'ex-otage Edan Alexander, ont également rendu hommage à Trump : « Il a compris que résoudre la crise des otages n’est pas seulement une urgence humanitaire, mais une condition essentielle à la stabilité et à la paix. »

Maison Blanche

Les intervenants ont unanimement appelé à « agir sans délai », estimant que cette fois, la paix et la fin de la guerre entre Israël et le Hamas pourraient être à portée de main.