Lundi dernier, les obsèques d’Itay Chen, dont la dépouille a été rapatriée en Israël après sa longue captivité par le Hamas, ont revêtu une dimension profondément solennelle.
Parmi les moments les plus marquants, la prestation de l’artiste et ancien combattant Idan Amedi a ému l’assemblée. Fidèle à son engagement personnel et à sa propre expérience de guerre, il a offert un hommage musical empreint de gravité.
Amedi, blessé lui-même en service, a su faire de cette prestation un acte symbolique : un chant pour un frère d’arme disparu, un appel à ne pas oublier ceux qui ont sacrifié leur vie pour la sécurité de l’État. Le choix de ses mots et de sa mélodie a résonné parmi les amis, la famille et les anciens militaires présents.
Le contexte rend l’hommage d’autant plus puissant : Itay Chen, revenu de captivité, n’a pas pu revenir à la vie. Sa mort rappelle la fragilité de la liberté retrouvée, et le chant d’Amedi souligne l’engagement collectif et le devoir de mémoire.
Cet instant, immortalisé dans les images et les cœurs, se veut un pont entre le silence des tombes et la voix vivante qui chante. Il invite chacun à se souvenir, à rendre hommage, et à poursuivre le combat pour Israël — car derrière chaque nom, chaque visage, il y a un pays, un peuple, une Patrie.
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